Tailleurs À Repentigny Qc

Description

Pour plus de détails, consultez notre politique de confidentialité. La plus grande partie de l’espace d’exposition (à faire se pâmer d’envie n’importe quelle galerie des grands centres) est occupée par des lapins de laine. Il y en a des géants, liés par des cordes rouges et des messages de bonne fortune comme ceux qu’on trouve dans les biscuits chinois, ainsi que d’innombrables lapins poupées suspendus à des armatures de parapluies qui tournent. Non sans ironie, l’artiste nous invite à en adopter un comme notre enfant et à suivre son parcours de vie sur un réseau social de sort Facebook. Lucie Duval tisse mots et lainage avec sensibilité et sourire en coin, ses installations nous restent longtemps en tête.
Le bouche-à-oreille est la meilleure façon de faire mousser ses ventes. Je dois trouver un moyen de lui suggérer de devenir ma porte-parole, sans par ailleurs la brusquer. Observons tout d’abord ses réactions à l’heure actuelle, afin de savoir si elle aime mon histoire. À chacun des arrêts, je transfère de wagon dans l’espoir secret de voir une passagère, mon livre entre ses mains. À l’étage, une exposition pour souligner les one hundred thirty ans de l’Académie royale des arts du Canada regroupe un éventail d’autoportraits bigarrés et ludiques. Aussi, à l’entrée, deux tableaux d’un quatuor inachevé sur les femmes et les saisons de Claude Le Sauteur, un peintre de la région, valent le coup d’oeil. Ces trois expositions, en marge de celle de Lucie Duval, sont présentées jusqu’au eleven octobre.
Quelqu’un l’a donc tuée et déshabillée avant de la jeter à la mer. C’est Patrik Hedström qui héceremony de l’enquête alors que sa femme, Erica, vient de mettre leur bébé au monde. Il peut y avoir un léger décalage entre les stocks affichés sur notre web site et la disponibilité réelle du produit en magasin. Merci de téléphoner à la succursale de votre choix avant de vous déplacer. Le site sera temporairement en upkeep, pour une mise à jour.
«J’ai beaucoup de chagrin à fermer mon commerce», confesse sans réserve le propriétaire de Jo-Jo Tailleur, nom de la boutique qu’il a tenue de 1981 à aujourd’hui, tant sur la rue Provost que sur la rue Notre-Dame. Un commerce dont il a hérité de Salvatore Urso, à la mort de ce dernier, assurant ainsi «le relais» d’une boutique qui roulait déjà à plein régime depuis une dizaine d’années. «J’étais le dernier tailleur encore actif à Lachine, les autres ont cessé leurs activités depuis longtemps», affirme M. Fragapane, qui a commencé à coudre à l’âge de 10 ans, dans un atelier de formation dans sa ville natale de Santa Elisabetta.
En utilisant des gants blancs de travailleurs blancs «made in China», l’artiste montréalaise, qui expose entre autres à Paris, Tokyo, Mexico et Taiwan, crée des personnages et des poupées d’une esthétique et d’une portée saisissante. Mais le commerce demeure opérationnel jusqu’en juin. Le temps que les derniers purchasers viennent chercher leurs vêtements. «C’est la raison principale pour laquelle je m’arrête, affirme le tailleur. Ce n’est pas par manque de travail, loin de là. C’est dommage, j’aime toujours mon métier et j’avais encore des purchasers. Je tiens d’ailleurs à les remercier chaleureusement».