Azzaro ® Boutique Officielle

Description

Même s’ils craignent en général de démontrer leur intérêt pour la mode, ils profitent des plaisirs qu’elle offre en changeant gilets, cravates, écharpes, gants et bijoux sans paraître vains, frivoles ou ridicules. L’habit de soirée constitue à la fin du 19e siècle une nécessité absolue pour un homme fortuné ou pour un élégant, ou pour celui qui désire atteindre l’échelon social supérieur. Les convenances imposent certains styles de vêtements en fonction de l’event, de l’activité, du degré de formalité et de l’heure de la journée. Les hommes fortunés, qui ont les moyens de se singulariser ainsi, peuvent conserver leur exclusivité en adoptant ces règles, qui évoluent constamment. Les ambitieux qui ne connaissent pas bien ces convenances peuvent consulter les nombreux guides qui se présentent comme l’autorité en matière de mode masculine.
Accueillant quelques-unes des grandes maisons de la mode les plus emblématiques du monde, Paris porte la créativité dans son identité. De l’élégance et la sophistication à la modernité et l’avant-garde, tout est possible à Paris tant que le fashion est porté avec une certaine nonchalance. Malgré une indifférence apparente, non seulement les hommes s’occupent de mode, mais quand ils peuvent se le permettre, ils en profitent. Ils contournent la censure en s’autorisant en public de discrètes touches mode. En privé, ils peuvent porter des couleurs et des tissus considérés comme inconvenants en public. Les hommes de tous les milieux se sont faits photographier au 19e siècle, après la baisse des prix des photographies.
La plus prestigieuse des boutiques de l’enseigne vise à attirer une shopperèle premium. Les collections, confectionnées dans des tissus haut de gamme, italiens, anglais et français, présenteront un massive choix de costumes, agrémentés de chemises, pulls, polos et accessoires.
On lui ajoute des boutons et des épaulettes, on retire les rosettes et de nouvelles combinaisons de couleurs apparaissent dans le textile. Au cours de cette période, le bourgeois adopte le capot pour les sports et les loisirs d’hiver et les femmes commencent à en porter une model féminine. Les hauts chapeaux de feutre portés au début du XIXe siècle par les voyageurs sont d’un grand intérêt. Ces derniers portent souvent la ceinture fléchée, faite de laine tressée à motifs multicolores en forme de tête de flèche (selon une method de tressage à la primary des Autochtones de l’Amérique du Nord). Cet accessoire, typiquement canadien-français, apparaît au déhowever du XIXe siècle et les femmes du Québec continuent d’en confectionner jusqu’à la fin du siècle. La colonisation de l’est du Canada begin au XVIIe siècle avec les Français. Au déhowever, ces colons ne peuvent compter que sur les vêtements qu’ils ont apportés.
De nombreux pantalons en cuir épais et mat avec un massive revers sur la cheville apportent une touche de fantaisie bienvenue, comme ces vestes qui exagèrent la largeur du dos ou la veste de smoking rose brillant et noir. Les clients sont parfois surpris de calculer que leur chandail a… 20 ans. Le savoir-faire des ouvriers assure une grande qualité à la confection des vêtements. Chaque étape de la confection est respectée et assurée par des professionnels, des passionnés. Véronique Wüthrich dans son rôle de l’enfant est accoutrée, avec ses deux nattes, comme un gamin rêveur, fuyant la réalité. «Elle porte un jean déchiré, un bandeau de pirate, un haut de lutin avec la capuche sur le côté», poursuit la directrice.